samedi 3 septembre 2011

BIG PLANET

PALOWSTOWN de Jean-Christian Bergman, Fleuve Noir Collection Anticipation n°914 Après 1999 explorations (ça c’est précis), Alexandre Palowsky n’espérait plus grande chose. 

A bord de son vaisseau le Balandakr et aidé par son ordinateur de bord James, il arrive à l’approche de la planète Tibet II. Dans un premier temps , Tibet II est déclarée avec une probabilité de vie nulle. Puis, James révise son jugement plusieurs fois pour la placer enfin en niveau 6+. Impensable ! Seules 4 planètes, la Terre incluse, sont de niveau 4. Comment une planète, jugée inhabitable, peut avoir un aéroport ainsi qu’un service de descente, qui offre ses services pour une prise en charge automatique ? Je ne vous en dirais pas plus car l’intrigue est assez surprenante. Je peux juste vous donner un indice : Tibet II peut être assimilée à Ego the Living Planet avec un niveau de conscience moindre, du moins au début. (Allez ! Tous sur Google !).

Bergman nous livre un roman de sf philosophique qui nous parle de la création et de la liberté : 

- Alexandre : Dis-moi, James : qu’est-ce qui fait qu’un homme est libre ou pas ? 

- James : La liberté est un principe de base de l’être humain, c’est son essence. Il la perd au fur et à mesure qu’il avance dans le temps mais il naît libre. (…) Il existe également un système comparatif du résultat atteint et du but visé, ce qui entraîne souvent une série de plans stratégie-actes mettant en cause la personnalité profonde de l’individu en tant que tel. 

Ouf ! Une deuxième lecture s’impose : 

- Alexandre : Dis-moi, James : qu’est-ce qui fait qu’un homme est libre ou pas ? 

- James : La liberté est un principe de base de l’être humain, c’est son essence. Il la perd au fur et à mesure qu’il avance dans le temps mais il naît libre. (…) Il existe également un système comparatif du résultat atteint et du but visé, ce qui entraîne souvent une série de plans stratégie-actes mettant en cause la personnalité profonde de l’individu en tant que tel. 

 Euh ! Une troisième ne serait pas de refus… non ça sert à rien, j’ai toujours rien compris. 

 A trop réfléchir, Bergman s’essouffle et la fin précipitée n’est pas au niveau. Palowstown reste tout de même un bon livre avec une idée très originale. Je vous le conseille donc fortement.

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